Olivier Besancenot est né le 18 avril 1974 à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Il n'a pas de mandat électoral.
Il possède une licence d’Histoire (Paris X Nanterre) et travaille comme facteur à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine, depuis 1997). Après SOS racisme (1988) il intègre la LCR (1991), devient attaché parlementaire d’Alain Krivine au Parlement européen (1999-2000), porte-parole de la LCR (aux côtés d’Alain Krivine et Roseline Vachetta), plus jeune candidat à la présidentielle en 2002 (il a 27 ans et recueille 4,25% des voix)…
« Nos vies valent plus que leurs profits ». Olivier Besancenot a le sens des formules et le ton pour les faire passer en meeting où il s’exprime sans notes. Jeune père actif dynamique, il a réalisé un score inattendu en 2002 (4,25% des voix). Sur le fond, ses priorités sont celles défendues par le leader historique de la LCR, Alain Krivine :
une autre répartition des richesses, une augmentation générale des salaires et des minima sociaux, l’interdiction des licenciements pour les entreprises qui font des bénéfices ou encore la taxation des profits et des capitaux spéculatifs. Il est hostile à toute majorité composite dans laquelle se retrouveraient le Parti socialiste ou les Verts. En effet, il est pour la disparition du « capitalisme libéral » mais ne prône plus « le grand soir ». Il exige, pour une candidature unitaire de l’extrême gauche en 2007, le refus écrit de toute participation à une nouvelle « majorité plurielle ». Bloquant ainsi les négociations avec le PCF de Marie-George Buffet.
Dernier livre paru : Révolution, 100 mots pour changer le monde, Flammarion, 249 pages, 5,30 euros.
Il possède une licence d’Histoire (Paris X Nanterre) et travaille comme facteur à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine, depuis 1997). Après SOS racisme (1988) il intègre la LCR (1991), devient attaché parlementaire d’Alain Krivine au Parlement européen (1999-2000), porte-parole de la LCR (aux côtés d’Alain Krivine et Roseline Vachetta), plus jeune candidat à la présidentielle en 2002 (il a 27 ans et recueille 4,25% des voix)…
« Nos vies valent plus que leurs profits ». Olivier Besancenot a le sens des formules et le ton pour les faire passer en meeting où il s’exprime sans notes. Jeune père actif dynamique, il a réalisé un score inattendu en 2002 (4,25% des voix). Sur le fond, ses priorités sont celles défendues par le leader historique de la LCR, Alain Krivine :
une autre répartition des richesses, une augmentation générale des salaires et des minima sociaux, l’interdiction des licenciements pour les entreprises qui font des bénéfices ou encore la taxation des profits et des capitaux spéculatifs. Il est hostile à toute majorité composite dans laquelle se retrouveraient le Parti socialiste ou les Verts. En effet, il est pour la disparition du « capitalisme libéral » mais ne prône plus « le grand soir ». Il exige, pour une candidature unitaire de l’extrême gauche en 2007, le refus écrit de toute participation à une nouvelle « majorité plurielle ». Bloquant ainsi les négociations avec le PCF de Marie-George Buffet.
Dernier livre paru : Révolution, 100 mots pour changer le monde, Flammarion, 249 pages, 5,30 euros.
